El año pasado dejé un farero de guardia en el blog durante las tres semanas que estuve de vacaciones. No puso un solo post en veinte días y el día 31, a pocas horas de que entrase septiembre, nos regaló una canción que yo siempre asociaré a él. Era su canción y se convirtió en nuestra canción. Cómo no quiero repetirla, voy a dejar hoy otra de sus canciones. Siempre me pareció una cursilada pero a él le encantaba y reconozco que terminé sabiéndomela de memoria en francés, lo que en mí tiene su mérito. Donde quiera que estés, sonríe ECA.
miércoles, 31 de agosto de 2011
Suscribirse a:
Enviar comentarios (Atom)
5 comentarios:
Tu no atinabas con el francés ni a tiros y él, que la pronunciaba muy bien y le echaba mucho sentimiento, la entonaba fatal, pero los dos juntos conseguiais un dúo perfecto, tu la música y él la letra.
Para que practiques:
Moi je n'étais rien
Mais voilà qu'aujourd'hui
Je suis le gardien
Du sommeil de ses nuits,
Je l'aime à mourir.
Vous pouvez détruire
Tout ce qu'il vous plaira,
Elle n'aura qu'à ouvrir
L'espace de ses bras
Pour tout reconstruire,
Pour tout reconstruire.
Je l'aime à mourir.
Elle a gommé les chiffres
Des horloges du quartier,
Elle a fait de ma vie
Des cocottes en papier,
Des éclats de rires.
Elle a bâti des ponts
Entre nous et le ciel,
Et nous les traversons
A chaque fois qu'elle
Ne veut pas dormir,
Ne veut pas dormir.
Je l'aime à mourir.
Elle a dû faire toutes les guerres,
Pour être si forte aujourd'hui,
Elle a dû faire toutes les guerres,
De la vie, et l'amour aussi.
Elle vit de son mieux
Son rêve d'opaline,
Elle danse au milieu
des forêts qu'elle dessine,
Je l'aime à mourir.
Elle porte des rubans
qu'elle laisse s'envoler,
Elle me chante souvent
que j'ai tort d'essayer
De les retenir,
De les retenir,
Je l'aime à mourir.
Pour monter dans sa grotte
Cachée sous les toits,
Je dois clouer des notes
A ses sabots de bois,
Je l'aime à mourir.
Je dois juste m'asseoir,
Je ne dois pas parler,
Je ne dois rien vouloir,
Je dois juste essayer
De lui appartenir,
De lui appartenir,
Je l'aime à mourir.
¡Ah! ¿Qué el horloge no era un Cartier?
¡Mon Dieu!
No te preocupes, querida T, se pronuncian casi igual y la anécdota es muy divertida. ECA, más que sonreir, debe estar riendo a carcajadas y a tí seguro que se te ha borrado la melancolía.
Me ha gustado, T. (incluyendo el hallazgo del horloge de Cartier)
Publicar un comentario